Mon regard d’écrivaine

Pourquoi l’ironie n’est pas un simple masque, mais bien une véritable arme littéraire
Le rire. La réflexion. Et cette petite démangeaison qu’on ne peut ignorer.
Dans un paysage littéraire souvent coincé entre engagement sérieux et divertissement léger, je revendique une troisième voie :
Faire réfléchir sans alourdir.
Faire sourire sans désarmer la critique.
Mon arme littéraire : l’ironie
« L’ironie n’est pas un masque. C’est une loupe. »
Ce n’est pas un artifice de style : c’est une conviction.
Elle révèle les contradictions ordinaires, les absurdités sociales et les injustices banalisées.
Là où d’autres s’en servent pour esquiver, je l’utilise pour éclairer.
Un regard forgé sur le terrain
Au fil de mes projets éditoriaux, j’ai donné voix à ceux que la société regarde à peine :
Ceux qui s’usent contre les absurdités administratives et sociales.
Les observateurs critiques que l’on réduit trop souvent à de simples contestataires.
Mes lecteurs me le disent souvent :
« Je me reconnais dans tes pages. Tu mets des mots sur ce que je ressens. »
Une plume lucide, jamais militante
À l’ère des réseaux sociaux où l’indignation est devenue une posture et la polémique un outil de visibilité, je prends le contre-pied.
Mon ironie est un questionnement, pas un cri.
Mes récits ne cherchent pas à cliver, mais à faire réfléchir.
Je revendique une littérature critique, intemporelle, libre des modes et des controverses passagères.
Un récit personnel à portée universelle
Je travaille aujourd’hui sur un manuscrit autofictionnel inspiré de faits réels.
À travers une voix mordante et lucide, j’explore les mécanismes invisibles qui enferment : domination maternelle, poids du silence et violences ordinaires.
Ce récit ne cherche pas la consolation ni la rédemption. Il transforme le quotidien oppressant de l’enfance en satire sociale corrosive.
Le sarcasme y devient un fil conducteur, non pour atténuer la gravité du propos, mais pour révéler l’absurde et questionner ce que beaucoup préfèrent ignorer.
Le marché veut des voix audacieuses… et maîtrisées
Le succès d’auteurs comme Virginie Despentes, Amélie Nothomb ou Jonathan Coe en temoigne :
Le marché littéraire accueille les voix critiques — à condition qu’elles soient maîtrisées.
J’offre cet équilibre :
- Un ton distinctif.
- Une profondeur narrative.
- Une maîtrise stylistique nourrie par des années de chronique et de travail éditorial.
Une voix littéraire de notre époque
Je ne cherche pas la polémique.
Je raconte notre époque avec un rire qui gratte, qui questionne et qui persiste dans l’esprit.
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Éditeurs : si mon approche et mon univers résonnent avec vos lignes éditoriales, je serais ravie de vous en dire davantage sur mon manuscrit.